• Chapitre 8

  • Le soleil se levai lentement au dessus de la Deuxième Maison. Du haut de la pyramide, je le contemplais à travers la voûte. Il faisait encore froid, mais ma fourrure me protégeait un peu. Je sentis quelqu'un qui venait derrière moi. Sir Wiraqucha vint s'asseoir à coté de moi.

    - Depuis tous le temps que je suis ici, je ne lasse jamais de cette vu.

    Je tourna ma tête pour le regarder.

    - On racontais qu'Inti, le soleil, était un grand dieu, dieu protecteur des Incas, fils de Viracocha, le dieu créateur.

    - Comme... comme vous ?

    - Oui...

    Il sourit.

    - Viracocha et Wiraqucha sont les même nom d'une même divinité. Ça se prononce pareil, mais ça ne s’écrit pas pareil. Mais dit moi, Isis, tu ne dort pas ?

    - Les chats sont des animaux nocturne, principalement. Et, contrairement à d'autre chats, je n'ai pas ce besoin constant de dormir.

     Il hocha la tête. Nous restâmes assis ainsi de longues minute. Un oiseau gazouilla à un endroit. Sir Wiraqucha se leva.

    - Isis... fit-il finalement, j'espère que tu sais que tu es très différente des tiens. Peu importe ce que dises les autres, tu es unique en ton genre.

    - Comment ça ? demandais-je.

    Il eu un sourire.

    - Tu le sais déjà, mais si tu veux des précisions, rendez-vous cette nuit à minuit ici.

    Sur ce, il se détourna et rentra dans la pyramide. En sortis Zoëy, qui me regarda avec étonnement, puis mépris. Pourquoi donc me détestait-elle ? En regardant en contrebas, j’aperçus des élèves qui sortaient des maisons. 

    - Je pense que nous devons les rejoindre, fit Wanda en arrivant derrière moi. Sir Wiraqcha nous as demander de suivre Zoëy.

    Je tourna la tête pour la regarder, et m’aperçus qu'elle était habillée d'une simple tunique brune et un pantalon noir. Une bande de tissus noire lui serrais la taille.

    - Wiraqucha, pas Wiraqcha, fit-je. Dans ce cas, allons-y.

    Aglaé, Diane et Owen venaient d'apparaître eux aussi. Ils étaient tous habillé comme Wanda, sauf Owen, qui n'avait pas la ceinture. Et Aglaé, qui avait un pantalon et une ceinture blanche. Nous descendîmes la pyramide. Zoëy nous attendais en bas. Les élèves s'étaient ranger en neuf colonnes, tous de même âge devant elle. Elle fit un signe à Owen, et le plaça à la quatrième colonne. Elle plaça ensuite Wanda dans la sixième colonne, et Aglaé et moi dans la septième colonne, où Thomas nous fit un signe de tête ravi. Nous nous plaçâmes derrière lui. Diane alla finalement dans la huitième colonne.

    - Queridos estudiantes ! Un nuevo día se ha levantado en la Segunda Casa. Hoy, damos la bienvenida a estudiantes de la Quinta Casa. Señor Wiraqucha lo quería así, reservéles una cálida bienvenida. De ahora en adelante, y durante las proximas semanas, los cusrsos seran en francés. Buen día a todos !

    - Cher élèves, un jour nouveau s'est levé sur la Deuxième Maison. Aujourd'hui, nous accueillons des élèves de la Cinquième Maison. Sir Wiraqucha en a voulu ainsi, réserver-leur un bon accueil. A partir de maintenant, et pour les semaines à suivre, les cours se feront en français. Bonne journée à tous, nous traduit doucement Thomas. Elle nous fait un discourt comme chaque matin.

    Les neuf colonne prirent chacune le chemin d'une grande maison. Pour la notre, au lieu d'un pouvoir, un oiseau aux couleurs de feu était gravé sur le porche.

    - Neuf des maisons de la cité on des animaux ainsi, nous murmura Thomas. Pour nous, c'est un Phénix, car nous abandonnons notre enfance pour entrer dans un âge adulte. Pour les plus petits, c'est un aigle, car ils ouvrent leurs ailes dans le monde de la magie. Il y à aussi le lion, car ils apprennent à ne plus avoir peur de leurs dons, mais au contraire de puiser leurs force dedans, le serpent, car ils deviennent de plus en plus ruser et aguerris... Il y a neuf animaux en tout.

    Nous entrâmes dans la maison, où nous attendais un grand homme à la peau aussi blanche que la neige, et aux cheveux blond clair.

    - Bien, bonjour à tous, fit-il avec un fort accent norvégien.

    Il nous regarda, Aglaé et moi.

    - Voici donc les élèves de la Cinquième Maison. Señorita Isis et Señorita Aglaé, bienvenues parmi nous. je suis Sir Sebastian.

    - Merci, répondis-je en m'inclinant légèrement.

    Aglaé fit de même.

    - C'est un honneur pour nous, mesdemoiselles.

    Il se tourna enfin vers le reste de sa classe.

    - Bien, qui peut nous dire où nous en étions hier ?

    Une jeune fille aux allure de japonaise leva la main.

    - Oui, Keiko ? fit Sir Sebastian.

    - Francisco Pizarro, Drak affranchi à la Cinquième Maison, à proclamer ce continent appartenant à la couronne Espagnole, et à décimer la plupart des Incas.

    - Parfais, merci Keiko. Autre chose ?

    Aglaé leva timidement la main.

    - Oui, Aglaé ?

    - Il est né à Trujillo en Espagne en mars 1475 et fut assassiné à Lima en juin 1541.

    - Bien fait pour lui, maugréa quelqu'un dans le fond de la classe.

    - Il... il a conquit l'Empire Inca et fut aussi gouverneur du Pérou. Il est connu pour avoir emprisonné et condamné à mort en 1533 l'empereur Inca Atahualpa après la bataille de Caja... Cajamacar ? tentais-je timidement.

    - La bataille de Cajamarca, Isis, Cajamarca, me souffla Thomas.

    - Ah oui, Cajamarca, où il à demander une rançon énorme pour la liberté de l’empereur. Mais il fut tout de même assassiner. Le reste du trésor qui n'était encore en possession du Conquistador fut cacher dans une chaîne de montagne.

    - Parfait, Isis, parfait Aglaé, vraiment parfais. Vous avez déjà travailler dessus ?

    Je regardai Aglaé.

    - Non. Nous aimons juste lire, c'est tout.

    - Eh bien, c'est très bien. En effet...

    Et il continua son cour. Il nous décris comment Francisco Pizarro avait utiliser la naïveté Atahualpa. L’empereur avait rejeter la bible, ce qui déclencha la bataille. Son demi-frère aussi fut emprisonner. Ils furent tous deux tués par les Espagnol, et un autre de leur demi-frère leurs succéda sur le trône. Perdu dans ces noms que tous connaissait par cœur, je me mit à rêver. Je me mit à penser à chez moi. Ma mère, mon père, mes frères... mes autres amis... J'avais un très mauvais pressentiment. Comme si j'étais sûre de ne plus jamais les revoir. Alors, j'étendis mon esprit, comme un aigle ouvre ses ailes.

    "Isis ?" fit la voix étonnée de Juliette dans mon esprit.

    "Juliette ? Je t'ai connecté ?"

    "Ben... Oui. Ça se passe bien ?"

    "Génial, même ! On est venus pour sauter les cours, et on se retrouve en salle de classe !"

    "Comment ça ?"

    J'ouvris un peu plus mon esprit pour qu'elle puisse voire ce que je voyais. C'était une technique assez compliquer que peux réussissaient.

    "Ah oui, d'accord." fit Juliette."Mais au moins, ils vous on bien accueillis."

    "Dame Ingrid aussi nous a bien accueillis. Et regarde le résultat."

    "Elle est quand même venus. Après."

     "Trop tard."

    Il y eu un silence embarrasser.

    "Que c'est-il passé avec Nout ?" finit par faire mon amie."Dès qu'on parle de toi, elle fait la tête..."

    Je... elle... on s'est juste disputée."

    "A quel propos ?"

    "Je... je suis désolé, Juliette. Ça ne te regarde pas."

    "D'accord... Comment vont les autres ?"

    "Aglaé, Wanda, Owen et Diane vont bien, ils ont été assigné à d'autre classe, sauf Aglaé qui est avec moi. Quand aux profs... je ne les ai pas vus."

    "Tu t'es fait des amis ?"

    "Il y a un garçon sympa... Il est né près de chez nous."

    "Quoi ?"

    Je lui expliquai alors comment les élèves du Machu-Picchu étaient rapatriés.

    "Ah... C'est flippant, imagine que ce garçon est en réalité le frère de quelqu'un qu'on connaît..."

    "M'en parle pas..."


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