• Chapitre 7

  • Ils nous menèrent au Temple du Soleil, dont la pierre centrale avaient été déplacer pour laisser apparaître une autre pierre qui descendais.

    - C'est sur, c'est plus facile quand c'est entièrement ouvert, maugréais-je.

    - Quoi ? fit Diane.

    - Callaos ! Ya tienes suficiente para despertar, fit un des homme du groupe.

    - No queremos ningún daño, fit froidement Mme Carole dans un espagnol remarquable.

    - Tuvimos que pensarlo antes de irnos a casa, remarqua la femme aux cheveux noirs.

    - Le diremos al menos su nombre ? demanda la professeur de français.

    La femme hésita un long moment.

    - No mereces conocerlo.

    Incapable de me taire plus longtemps, je lança :

    - Vous êtes Zoëy, le bras droit de votre principal ?

    La femme ne sembla pas comprendre la phrase, mais saisi le nom.

    - Eres Zoëy, el brazo derecho de tu principal ? traduit Mme Carole.

    La femme me fixa de ses grand yeux noisettes pendant quelque minute avant de répondre :

    - Sí.

    Elle se détourna, et nous continuâmes notre chemin. Nous arrivâmes à la cité, et bien que quelques enfants nous regardaient des porches de leurs maisons respective, elle était déserte. On nous menas à la grande pyramide. Elle était immense, en marche, avec au centre un escalier qui menait en haut. Au bout de l'escalier trônait un petit temple carré, où était graver avec des lettre incrusté de mousse : "La sangre fluye, pero la Segunda Casa se levantó..."

    - "Le sang à couler, mais la Deuxième Maison s'est relevé..." traduisit Mme Carole.

    - Ils voulait sûrement faire référence au génocides des Incas par Pizarro, commenta Mme Estelle.

    - Les pauvres... murmura Aglaé.

    - Silencio, fit sèchement Zoëy.

    Nous commençâmes à monter l'escalier de la pyramide.

    - Génial. Combien de marches, au juste ? marmonna Owen.

    - Silencio ! cria un peu plus fort Zoëy.

    - Il faut compter, glissa discrètement Wanda à Owen.

    Celui-ci eu un embryon de sourire. Nous atteignîmes enfin le haut de la pyramide. Au centre du temple se trouvait une sorte d'escalier en colimaçons, mais à défaut d'être rond, il était carré. Zoëy prit une torche qui était accrocher au mur, et descendis l'escalier.

    - Sígame.

    - Encore des marches. Yes, fit Owen.

    Nous la suivîmes, mais les autres hommes restèrent dehors. A chaque étage, une porte. Nous descendîmes jusqu'en bas. 20 portes, donc 20 étages. Plus le temple. La pyramide était en effet énorme. En bas, nous prîmes une porte qui menait à un long couloir tapisser de mousse et décorer de fleurs. Au bout du couloir, Zoëy nous fit signe de nous arrêter, et s'avança de trois pas. Elle se tenait face à un arbre au feuillage dense et vert tendre. Elle souffla longuement, comme pour se calmer, et murmura :

    - Zoëy, Hija de la Tierra. Por los derechos sagrados, abierto, puerta !

    Au début, il ne se passa rien. Puis, tout doucement, un bourgeon de fleur s'ouvrit et une magnifique fleur d'un violet intense fit sont apparition. Soudain, l'arbre entier se couvrit de même fleurs, mais rose pale. Le tronc se tordit, et se sépara en deux pour laisser place à une porte. Zoëy y entra, et nous fit signe de la suivre. Ce que nous fîmes. A l’intérieur, une énorme salle remplie d'une immense bibliothèque, et au fond, une grande jungle. En face de la jungle, une grand bureau en acajou, et un siège qui nous tournait le dos. Quelqu'un y était visiblement assis.

    - Señor, los magos de la Quinta Casa. Ellos han entrado a la ciudad, fit Zoëy en s'inclinant.

    Le siège pivota lentement, et nous nous retrouvâmes face à un homme dans la fleur de l'âge. Il avait de longs cheveux noirs et lisses, des yeux bruns foncé et une barbe petite et pointue. Il était bronzé. Je devais probablement l'avoir déjà vu, car ses traits me disaient quelque chose, mais je ne me souvenait pas où.

    - Voyons Zoëy, fit-il d'un voix douce, ai la décence de parler français devant nos... invités.

    Zoëy s’inclina à nouveau, et s'effaça dans l'ombre d'une bibliothèque. L'homme se leva, et nous sourit.

    - Bienvenus à vous tous. Je suis Wiraqucha, dirigeant de la Deuxième Maison. Et vous devez déjà connaître mon bras droit, Dame Zoëy.

    M. Christophe baissa la tête avec respect.

    - Merci à vous de nous accueillir, et désoler si nous vous avons déranger cette nuit. Je suis Christophe, et voici Laure, Estelle, Carole et des enfants de la Cinquième Maison, Diane, Isis, Aglaé, Wanda et Owen.

    Wiraqucha nous dévisagea.

    - Je n'en voit que quatre, fit-il.

    Je m'avança d'un pas, fière.

    - Je suis Isis Nobiles, la cinquième.

    Le regard du dirigeant s’éclaircit lorsqu'il me vit. Il me sourit.

    - Isis Nobiles... la fameuse Tueuse de Draks...

    Je frissonna quand il prononça le surnom que m'avait donné les Chevaliers de la Troisième Maison.

    - Comment.. comment connaissez-vous ce nom ? demandais-je.

    Il eu un petit rire.

    - Je suis très proche d'Ingrid. Et elle ne tarit pas d'éloge à ton sujet.

    Je fronça les sourcils. Dame Ingrid, directrice de la Troisième Maison, me détestait. Ce ne pouvait pas être possible.

    - Ce... C'est vrai ? Fit-je, bien que j'en doutais.

    - Non. Elle te hait cordialement. Donc, je ne finis pas d'entendre parler de toi.

    - Pourquoi ça ne m'étonne pas ? murmura Diane, taquine.

    Je lui jeta un regard amusé.

    - Je ne la connais pas, mais elle à l'air sympathique, nous fit discrètement Owen.

    Diane, Wanda et Aglaé retinrent un rire, et je souris. Zoëy fronça les sourcils, et s’adressa a nos professeurs.

    - Vous n’apprenez pas aux enfants à être respectueux envers les grands de ce monde ?

    - Dame, sachez que nous leurs apprenons d'abord à être respectueux envers eux même, puis envers leurs compagnons d'écoles et nous, leurs professeurs, fit sèchement Mme Estelle. Nous leurs apprenons ensuite la fidélité, le courage, la compassion et la paix. Certes, se moquer de Dame Ingrid n'est pas très fin, mais ce ne sont que des enfants. Et il est heureux de voir qu'ils ont retrouvé l'innocence de cet âge pur, après ce qui s'est passé.

    Nous nous tûmes, et nous baissâmes la tête. Zoëy examina froidement Mme Estelle, puis se détourna avec mépris.

    - Puedes retirarte, señora Zoëy, fit Sir Wiraqucha.

    Zoëy s'inclina à nouveaux, puis partis. Sir Wiraqucha se tourna vers nous.

    - Bien. Je suppose que votre venue à un but ?

    M. Christophe sortis de son manteau un parchemin roulé et le lui tendit.

    - Voici une missive de notre principal, Côme De Savoie. Il vous est destiné.

    Nous frissonnâmes : nous n'entendions presque jamais le nom de famille de M. Côme. C'était un moment très officiel. Sir Wiraqucha déroula le parchemin et le lut en entier. Enfin, un petit sourire s'afficha sur ses lèvres.

    - Bien entendus, nous allons vous accueillir. Votre Sir Côme à fait appelle à une tradition qui m'est chère au cœur.

    Il nous regarda un par un.

    - Celle de l'échange. Une école magique envoie une partie de ses élèves à une autres, et vice versa. Excuser moi, mais pour vous logez, je vais avoir besoin des noms des pouvoirs des enfants. Vous, évidement, poursuivit-il en regardant les professeurs, vous serez loger dans la pyramide. Mais la tradition veut que les enfants dorment avec ceux qui ont le même pouvoir.

    M. Christophe consulta longtemps du regard Mme Laure, Mme Carole et Mme Estelle, puis dit :

    - Je pense qu'ils pourront vous le dire eux-même.

    Il nous jeta un regard encourageant. Diane s’avança d'un pas.

    - Je suis une Sermones.

    Sir Wiraqucha hocha la tête.

    - Isis et moi sommes Télépathes, continua Aglaé.

    - Évidemment, sourit le dirigeant de la Deuxième Maison.

    - Je suis une Nix, fit Wanda.

    - Et moi un Oracle, finit Owen.

    - Un Oracle si jeune, c'est remarquable ! fit Sir Wiraqucha.

    Owen baissa la tête.

    - Bien ! Je vais faire installer des matelas à vos futurs lits, et pour l'instant, vous dormirez dans la pièce d'as coté. Zoëy vous y conduira.

    Il nous sourit avant de nous raccompagner.

    - Oh, et une dernière chose, nous fit-il avant que nous franchîmes l'arbre-porte.

    Nous nous tournâmes vers lui. Il nous sourit une dernière fois.

     

    - Bienvenus à la Deuxième Maison.

     

     

     

    ("¡Callaos! Causaste problemas por esta noche.veux approximativement dire : "Taisez-vous ! Vous avez causés assez de problème pour cette nuit."

    "No queremos hacer daño.veux approximativement dire : "Nous ne voulons pas faire de mal."

    "Tenías que pensarlo antes de ir a casa.veux approximativement dire : "Vous auriez du y pensez avais de vous introduire chez nous."

    "¿Al menos sabemos tus nombres?veux approximativement dire : "Allons-nous au moins connaître vos noms ?"

    "No mereces conocerlos.veux approximativement dire : "Vous ne le méritez pas."

     "Zoëy, Hija de la Tierra. Por los derechos sagrados, abierto, puerta !" veux approximativement dire : "Zoëy, fille de la terre. Par les droits sacrés, ouvre-toi porte !"

    "Señor, los magos de la Quinta Casa. Ellos han entrado a la ciudad" veut approximativement dire : "Seigneur, les magiciens de la Cinquièe Maison. Il sont entré dans la cité."

    "Puedes retirarte, señora Zoëy." veut approximativement dire : "Vous pouvez vous retirez, Dame Zoëy."

    Je ne parle pas espagnol, aussi je ne suis pas certaine de la justesse de ces phrases. Si quelqu'un s'y connait mieux, toute aide par message serai la bienvenue !)


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