• Chapitre 5

  • Bibibip ! Bibibip !

    Nout éteignis le réveil d'un coup, et sauta du lit. Moi, qui dormait à coté d'elle,  je me prit la couverture.

    - Oh, Isis, c'est aujourd'hui !

    Je me levai et m'étirai.

    - Oui, je crois que j'ai compris.

    Le remuai mes oreilles et me passa un coup de langue sur le poitrail. Je sautai du lit. Et atterris sur mes jambes humaines. Je lissai mon pantalon noir et ma tunique blanche. Ils étaient juste un peu froissez. Nout pris ses vêtements et courus vers la salle de bain. Je souris. Ce n'était pas sa première année au collège, mais c'était sa première rentrée. Tous comme notre petit frère, Logan. Je descendis au rez-de-chaussé ou mon grand frère, Casey, tournait comme un fauve en cage. Il regardai l'heure avec inquiétude.

    - Il devrait déjà être là... murmura-il. Il devrais déjà être là...

    Je levai les yeux au ciel. Casey devait partir dans son nouveau lycée, un endroit où il serai en internat et où il consacrerait la moitié de son temps à sa passion : le ski de fond. Puis, nous entendîmes un klaxon dans la coure. Notre mère, Hélène, descendis les marches en trombe pour aider Casey à porter toutes ses affaires. Je prit deux sacs et sortie de la maison. Devant cette dernière, un mini bus conduit par Dorian, le père de mon amie Cléo. Son fils aîné, Martin, en sortis pour nous aider à mettre les affaires de Casey dans le coffre. Les deux garçons, bien d'un différent âge, étaient dans le même lycée. Mais Martin y allait pour le hockey. Il étais un Fortis, je crois. Ce qui lui procurait une force et une endurance hors du commun. Dorian faisais le tour de la vallée pour emmener tous ceux du village au lycée. Il devait en avoir trois autres, dont Hyna, dont le père n'habitais pas loin du lycée. Les deux autres avaient choisis l'option musique et télémark. Dorian nous salua, et Casey monta dans le mini bus. Il partis. Hélène et moi restâmes seules.

    - Bon, il faut penser à se préparer, non ? demanda-elle.

    Elle étais institutrice dans un village voisin, et mon père étais le directeur de l'école primaire du village. Nous rentrâmes. Logan, Nout et Jack, notre père, s'étaient levé. Pour une fois, je prit un petit déjeuner avec eux. D'habitude, je privilégiais toujours la chasse quand je pouvais rester sous une forme animale. Mais cette fois, pour éviter de faire peur aux nouveau, M. Côme, le principal de notre collège, m'avait demander de rester humaine. J'avais d’ailleurs bien grogner. Quel est le but d'être la seule Métamorphe de l’Univers si on ne peut pas se transformer ? Aucun. Nos parents partirent, nous laissant seuls, Logan, Nout et moi. Il me sourit d'un air crisper. Je soupirai.

    - Logan, tu connais déjà tous le monde ! Et les profs t’associeront comme le frère de Casey, Nout et Isis. Et comme le Figeur qui à fais le premier voyage. Tu n'as rien à craindre.

    Il me sourit à nouveau, plus détendu, cette fois. Nous entendîmes des coups à la porte. Nout jeta son sac sur ses épaules, et se précipita ouvrit la porte. Nous la suivîmes, plus lents. Le spectacle ne m'étonnai pas : nous vîmes Nout enlacé à son petit ami, Peter, un anglais. Très peu connaissaient son secret, mais il était le fils d'Onyx et d'Obsidienne, nos ennemis mortels. Mais il avait fais ses preuves en sauvant Nout lors de l'incendie provoquer par les Draks et qui avait dévaster notre ancien collège et fais beaucoup de victime. Pour ça, je lui faisais entièrement confiance. Pour celle qui se tenait derrière lui... Mary, sa sœur jumelle n'avait pas encore fais ses preuves. A elle, je ne confierais pas plus qu'un morceau de pain en temps d'abondance. Mais les trois personnes qui étaient derrière eux me firent sourire. Diane. Digory, son frère, qui as l'âge de Logan. Et Juliette, une de mes plus proches amie. Je fermai la porte à clé, et nous suivîmes nos amis. Logan discutaient avec Digory, Nout avec Peter, et moi avec Diane et Juliette. Mary restait en retrait.

    - Comment croyez-vous qu'il sera ? demanda Juliette, surexcité. Eléonor à laisser entendre qu'il serait énorme !

    - Eléonor ne sait rien, avança Diane. Elle ne fais que dire ce qu'elle pense.

    - Oui, renchéris-je. Mais je pense qu'elle a en partie raison.

    Quand nous passâmes devant la bibliothèque de notre village, nous appelâmes Aglaé, une autre de mes meilleurs amies. Elle sortie précipitamment de son modeste appartement qu'elle partageait avec ses parents et son chat.

    - Salut ! nous fais-elle en nous donnant la bise à chacun, même à Mary.

    - Salut ! lui répondis Peter. Alors, prête pour la 4ème ?

    Aglaé jeta un regard moqueur au bras de l'anglais enlacer à Nout.

    - Toi, tu parais fin prêt, en tous cas !

    Juliette et Diane gloussèrent. Et je souris. Nous continuâmes notre chemin. Déjà, les primaires accompagner de leurs parents commencent à affluer. Nous nous fîmes dépasser par quelques bus scolaire, qui rapatriaient les enfants des villages voisins ici. Enfin, nous arrivâmes au collège. La première chose que nous remarquâmes fut que le parking avait été agrandis. On ne voyais pas la nouvelle école, car un drap, surement suspendus par télékinésie nous masquais la vue. Nous rejoignîmes tous nos amis devant les portes de l'école. Eléonor et Cléo nous accueillirent avec le sourire.

    - Oh, j'ai tellement hâte de le voir ! s'écria Cléo.  Cette année sera merveilleuse ! En plus, on part en Toscane !

    - On ne sait jamais ce qui peut nous tomber dessus, Cléo, sourit Aglaé. Encore une attaque, un autre incendie...

    Bien que sont ton étais taquin, ses phrase jetèrent un froid sur tous ceux qui étant autour de nous.

    - Désoler, marmonna-elle.

    Je souris d'un air triomphant. j'avais enfin un point d'avance sur tous le monde. C'était si rare...

    - En tous cas, on ne vas pas s'ennuyer, chantais-je presque.

    Du coin de l’œil, je vis Maelys et Pomme tourner la tête vers moi. Mes amis étaient suspendu à mes lèvres. Et presque tous ceux qui nous entouraient s'étaient tu.

    - Pourquoi ? demanda finalement Nout.

    J’eus un autre de mes sourire.

    - Ce sera à M. Côme de vous l'annoncer. Si il le sais...

    - Tu es bête, fit Mary. Rien ne peut se passer sans l'autorisation de Côme.

    - En effet. Surtout pour ça. Il nous l’annoncera donc. Quand il en aura décider ainsi.

    - Arrête de te la jouer, Isis ! soupira Maelys en levant les yeux au ciel. Tu le sais ou non ?

    Je savais ce qui allait différencier cette année des autres. C'était mon frère, Thomas, qui me l'avait dit. Enfin, Thomas n'étais mon frère officiel. Mais c'était mon vrai frère. C'était très compliquer. Thomas et Elyse avaient été séparer à la naissance. Thomas avait été emmener et élever au Machu-Picchu, à la Deuxième Maison magique. Il ne savait pas lui même qui étais sa vraie famille. Je l'avais découvert en fouillant dans les papier de la Deuxième Maison. Puis, quand j'étais revenue chez moi, nous avions continuer à se parler par lettre et Télépathie.

    "Il y a de grandes chances que nous venions pendant une semaine ou plus dans votre école."

    Quand j'avais reçu cette lettre, j'avais sauter de joie. Thomas, Keiko... Peu être même Dame Emily, la belle professeur d'astronomie, ou encore Dame Arunima, la douce guérisseuse de la cité... Ce serait merveilleux qu'ils viennent un semaine chez nous.

     - Tu ne sais pas ! conclut Mary.

    Je lui jetai un regard de défi, mais je gardai la bouche fermer. J'avais précédemment perdue une occasion de me taire, je n'allais pas recommencer.

    - Hum hum ! fit une voix amplifier par un micros.

    Nous tournâmes la tête vers le draps. Mon père et M. Côme, le principal du collège tenaient chacun un micros.

    - Bonjour et bienvenu à tous ! clama M. Côme. Nous vous accueillons dans notre nouveau bâtiment pour cette première, nouvelle ou dernière rentrer au sein de notre établissement !

    Mon père prit le relai.

    - Après le désastre qui est survenu il y a maintenant deux mois, la maternelle, la primaire et le collège ont été rénover ! Ils sont prêt à vous accueillir pour presque toute votre scolarité !

    - Alors, cher élèves, parents et futurs élèves, je vous demande d'applaudir bien fort la mairie pour son soutien !

    Nous applaudîmes.

    - Les ouvriers, d'ici et d’ailleurs qui se sont presque tous portés volontaire pour refaire l'école !

    Cette fois, tous ceux qui connaissaient le secret de l'emplacement de l'école hurlèrent plus fort que les autres. J'entendis même un :

    - Pour Ingrid et Wiraqucha, hip hip hip...

    - Hourra ! crièrent d'autre.

    Mais ils furent engloutis par les cris des autres. Il étais pourtant vrai que Dame Ingrid et Sir Wiraqucha, les dirigeant des Deuxième et Troisième Maisons avaient envoyer des magiciens pour nous aider.

    - Et enfin, pour tous ceux qui nous ont porter aide, que ce sois pour aider les blesser de l'incendie ou fournit les tables et les chaises !

    Nous acclamâmes nous aussi.

    - Alors, bienvenue au collège et école primaire Olympes de Gouges ! cria mon père.

    La drap tomba en douceur. Pour nous révéler deux bâtiments où ne voyons que le dos. Un magnifique portail doré les liaient. Des deux coté du portail, il y avait deux statue d'oiseau prenant leur envol. Des phénix. Un animal aujourd'hui disparus. Je le savais, car j'avais pu me transformer en cet animal majestueux pendant les vacances. Et je ne pouvaient me transformer qu'en animal existant ou ayant exister.

    - Bonne rentré à tous ! conclut mon père.

    Nous entrâmes tous dans cette nouvelle école. Quand nous passâmes le portail, nous nous retrouvâmes dans la cour des primaires. Elle était entourée de bâtiments étant les classes. Il y avait une tour au coin Est du bas. Du coté Ouest, la cour était séparer par un grillage qui délimitait la cour des maternelle. Et, plus haut, un autre passage entre deux bâtiments pour entrer au collège. Nous nous y précipitâmes. Tous était différent. Au milieu de la cour trônait un grand tilleul. Il camouflait une fontaine derrière lui. Dans les deux coins du haut, il y avait deux tours, vitrée. Dans celle de droite se situais forcément le CDI, il n'y avait que des livres. Dans l'autre, il devait y avoir tous ce qui avait rapport avec la vie scolaire : bureau du principal, salle de réunion, bureau des surveillante, salle des profs... et autour des deux tours, des bâtiments beau, lumineux et neufs. Il y avait un porte dans la bâtiment entre les tours. Et, devant, ce qui intéressais le plus de monde. Le panneau des classes. Je fus l'une des première à l'atteindre, bien que je fus bousculer de toute part. N, N, N....  Là ! dans la classe des 4ème B, Nobiles Isis et Nobiles Nout. Je soupira de soulagement. J'étais avec Nout ! Je ne pus en voir plus, car je fus chasser par d'autre qui n'avaient encore rien vu.

    "On est dans la même classe !" transmis-je à ma sœur.

    "Cool !" pensa-elle.

    Mais je savais qu'elle ne souhaitais qu'une chose : être avec Peter.

    "Je suis avec toi !" me fit Aglaé."Il y a aussi Eléonor, Léana, Cléo, Wendy, Maelys, Naomie.... Eh !"

    Elle se fit aussi éjecter du tableau.

    - Hedy, Maelys, Aglaé, on est ensemble ! cria une voix que je reconnu comme celle de Pomme.

    Ok. Donc, Nout, Hedy, Maelys, Aglaé, Pomme, Eléonor, Léana, Cléo, Wendy et Noamie. C'était tous ce que savait pour l'instant.

    - Peter, on est ensemble ! cria Nout.

    Et Peter.

    - Et avec Enzo, Nogait, Eric... Et, faut pas se gêner ! fit Peter, outrer après qu'un cinquième l'ai pousser.

    Parfais. Avec Eléonor, Aglaé, Nogait, Eric et Enzo, j'étais l'une des meilleurs Télépathe. Je retentai ma chance pour m'approcher, mais j'échouai une nouvelle fois. Je vis que deux nouveaux tentaient de se faire une place. Line vint me voir.

    - On est ensemble avec Eléonor ! cria-elle. Tope là ! fit-elle en me tendant une main.

    Je souris puis tapai dans sa main.

    - Quel prof principale on a ? demanda Eléonor en accourant.

    - Mme Virginie, je crois, fit Eric en passant prête de nous. Vous savez où on se range pour aller en SVT ?

     - SVT, c'est là bas ! nous indiqua Gaëlle, une des surveillante en nous montrant un coin de cour.

    Nous y allâmes. Au fur et à mesure, l'émeute autour du panneau faiblissais. Et la rang autour de nous se replissais petit à petit. Enfin, Mme Virginie vint nous chercher. Elle nous examina d'un œil sévère, inspectant chacun d'entre nous. Enfin, elle revint en début de file, fronçant un peu plus les sourcils. Elle prit une grande inspiration...

    - Je suis contente de vous retrouver ! fit elle avec un grand sourire.

    Quelque sourires s'affichèrent. Elle étais en pleine forme. Elle nous accompagnas dans les nouveaux couloirs tous blancs, jusqu’à la salle de SVT. Elle était dans l'aile Ouest, entre la salle de Technologie et de Physique Chimie. Enfin, pas précisément, car une salle sas la séparais de la Physique Chimie. Mme Virginie nous dit de choisir nos places, et je me mit à coté d'Eléonor. La prof commença l'appelle.

    - Aglaé ?

    Mon amie leva la main. Elle étais à coté de Naomie, devant nous.

    - Présente !

    - Amy ?

    - Présente ! clama l'anglaise.

    - Cléo ?

    - Ici, fit mon amie.

    - Parfais. Eléonor ?

    - Présente !

    - Enzo ?

    - Présent ! fit-il d'une voix très forcer.

    - Merci... Eric ?

    - Oui ? fit Eric en interrompant sa discussion avec Nogait.

    - On se réveille ! On n'est plus en vacances... Hedy ?

    - Présente !

    - Isis ?

    Je me redresse, et dis d'une voix claire et forte :

    - Présente !

    Mme Virginie me sourit.

    - Tu es très jolie en humaine. Léana ?

    - Présente.

    - Line ?

    - Ouais ?

    - Non rien.

    La moitié de la classe s'esclaffa.

    - Luc ?

    - Présent !

    - Maelys ?

    - Présente.

    - Marc ?

    - Présent.

    - Mary ?

    - Présente.

    Aïe. J'avais Mary dans ma classe. Et je ne savais pas si elle était fiable ou non. Elle étais en couple avec Victor, que je connaissais bien, mais je n'avais pas confiance en elle. Mais valait mieux l'avoir à l’œil.

     -Naomie ?

    - Oui, je suis là !

    - Tant mieux. Nogait ?

    - Présente !

    - Tu es une fille maintenant ?

    Nogait haussa les épaules d'un geste fataliste. Mme Virginie sourit.

    - Comme tu veux. Nout ?

    - Présente, fit ma sœur.

    - Bien. Peter ?

    - Présent, fit l'anglais.

    - Pomme ?

    - Présente.

    - Tom ?

    - Présent.

    - Victor ?

    - Absent, madame, fit-il en se retenant de rire.

    - Parfais.

    Plusieurs sifflèrent.

    - Chut ! Et Wendy ?

    - Présente !

    - Parfais ! alors, tous le monde est là. Vous êtes... 23.

    Nous acquiesçâmes.

    - Alors, je me re-présente pour la quatrième année avec vous. Je suis Mme Virginie, la prof de SVT et votre professeur principale. Vous devez tous savoir que je met des notes et non des compétence. Alors, il faux bien travailler pour faire monter la moyenne de la classe. Cette année, je veux une moyenne supérieur à quinze !

    Un flot de protestation et de soufflement de fit entendre. Mais Mme Virginie sourit.

    - C'est bon, je blague, ce sera pas en dessous de dix huit !

    - J'espère bien ! fit une nouvelle voix du porche de la porte.

    Nous nous levâmes tous quand nous reconnûmes M. Côme, le principale du collège. Avec ses cheveux blanc et ses yeux bleu, il imposait naturellement le respect. Il nous regard tous un à un, avant de poser son regard sur ma sœur et moi.

    - Je pense que j'ai fait une bonne classe, j’attends beaucoup de vous tous. Cette année, n'oubliez pas qu'elle sera spécial. Première année avec ce nouveau bâtiment. Et nous aurons une surprise dans quelque semaines qui réjouiront certain.

    Je souris d'un air triomphant. Thomas allait venir ici !!! M. Côme sourit à nouveau, puis prit conger. Mme Virginie m'observa un moment, puis commença son cour. C'était bien de retrouver nos bonnes vieilles habitudes.


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