• Chapitre 16

  • Il pleuvait des trombe d'eau. Quoi de mieux pour une attaque surprise ? J'espérais que mon message avait atteint sa destination. Sinon... nous étions tous enfoncer dans la merde de lama jusqu'au coup. Nous étions camoufler dans la jungle. Durk était à coté de moi. Le bracelet était accrocher à mon poignet. J'avais tresser mes longs cheveux noirs et blanc. Ils tombait sur mon dos. Le cheval de Durk, que je tenais, piaffa. Je le calma de quelques hennissement. Durk me jeta un coup d’œil imperceptible. La bataille était imminente. La cité, comme endormie par la pluie, était déserte. Les Draks se rassemblaient autour de Sylvénia. Elle donnait ses instructions. Ils avaient ordres de détruire la cité apparente, et de pénétrer dans celle abritant les magiciens.

    - Il on survécus à Pizarro, ils ne survivront pas à Sylvénia, marmonna Durk.

    Je lui jeta un regard noir.

    - En selle ! fit la Drake.

    Durk monta sur son cheval, et je lui tendis les rennes. Alors que j'allais m'éloigner, il me saisi le poignet et appuya fort sur mon bracelet.

    - A l'attaque ! hurla Sylvénia en faisans galoper son cheval.

    Durk la suivit d'un coup, et je du m'écarter pour ne pas être écraser par les autres chevaux. Yva me prit le bras. Elle devait me surveiller. Soudain, mon esprit s’éclaircit. Le bracelet a mon poignet s'était ouvert. Tombé. Détacher. Durk me l'avait détacher. Je perçus toutes les pensées, toutes les peur, tout les désirs les plus secret de toutes les personnes preséntes.

    "Aglaé !" fis-je.

    "Contente de t'entendre, Isis."

    "Les Draks vont pénétrer dans la..."

    "Nous connaissons leurs plans ! Je suis désoler, mon amie, mais je ne vais pas rater une occasion de leurs botter les fesses !"

    "Ils sont là !" fit la voie de Thomas. "Aglaé... Un peu de sérieux !"

    Je chercha le plan dans son esprit. Puis, je me défit de l’étreinte de la Drake, et partie. Yva sursauta, et s’éloigna. Je ne fis pas attention à elle, et je sautai hors des broussailles. Dans les airs, je me transforma en faucon. Je piqua vers la batailles. Des guerriers de la Troisième Maison étaient apparus et lutaient avec les Draks. Ils étaient en sous-nombre. Je repris de la hauteur, et piquai à toute vitesse vers Sylvénia.

    - Troisième Maison, maintenant !!!! hurlais-je.

    Alors, de toutes les maisons de pierres sortirent des guerriers armés jusqu'au dents. Les Draks furent entourée. Mais j'avais ma cible. Juste au moment de foncer dessus, je me transformai en panthère. Mes griffes pénétraient profondément dans le dos de Sylvénia qui hurla de douleur. Nous tombâmes de son cheval, et nous roulâmes à terre. Elle essaya de me poignarder avec un couteau, et je la griffai au visage. Quelqu’un me tira de derrière, je me retournai pour faire face à Wiraqucha.

    - Je la veux vivante, Isis. Ils y en a d'autres.

    Il me tendit une épée. Je redevins une humaine, toujours habiller dans les vêtements de la veille. Je pris son épée, et retournai au combat. Je ne m'étais jamais servie d'une épée. Pourtant, je virevoltais au milieu des Draks avec grâce, sans jamais rater ma cible. Soudain, une épée contra la mienne. Je me retrouvais face à Durk. Il grimaça.

    - Tu veux vraiment voire ma tête en haut d'un pique ?

    Je débarrassa mon épée, et tenta une attaque. Il la contra.

    - Il ne faillais pas me libérer ! Idiot !

    Puis, je lui fauchai les jambes avec les miennes, et le blessai au visage avec mon armes.

    - J'espère que ton œil est crever, tu sera égaliser, crachais-je en me rappelant ce que m'avait dit Obsidienne peu avant sa mort.

    Je le laissais en plein milieu du champ de bataille sans l'achever. je me retrouvai face au Drak qui s’était assis à coté de moi au bar.

    - Tu te bat, ma mignonne ? gronda-il en esquivant mon attaque.

    - Pour protéger les miens, oui, je me bat ! répliquais-je.

    Nous commençâmes à nous battre férocement. Il avait l'avantage. Soudain, je trébuchais sur quelque chose - je ne voulais pas savoir quoi - et me retrouvai à terre. le Drak tombai lui aussi. Mais parce que M. Christophe venait de le trouer de l'arrière. Je me relevais d'un bond.

    - Rentre immédiatement, Isis ! fit-il en luttant contre un autre Drak.

    - Non ! fit-je en lui lançant mon arme.

    Il la prit, et coupa la tête du Drak. Je me retransforma en panthère. Je sautais sur les Draks, leur arrachant la tête, leur sectionnant des membre... Je vis Zoëy en difficulté. Je neutralisa son adversaire.

    - Je ne suis pas heureuse de vous revoir, Isis, fit-elle de sa voix sèche.

    Nous étions dos à dos, assurant chacune les arrière de l'autre.

    - Ne vous inquiéter pas, c'est réciproque ! ripostais-je.

    Puis, tous se calma un peu. Les Draks furent déboussoler pendant un long moment. Ils venaient de s’apercevoir la disparition de Durk et Sylvénia. Zoëy et moi en profitâmes pour en éliminer le plus possible. Enfin, ils n'en resta plus aucun. Ils avaient été tuer par les guerriers de la Deuxième Maison ou s'étaient enfuis.

    - Bande de lâââââche ! rugissais-je aux fuyards.

    Puis, prenant mon élan, je les poursuivis dans la jungle avec Zoëy. Je bondis rapidement sur les survivant. Zoëy arriva un poil trop tard. Le sang frai tachait ma fourrure noire. Elle me regarda dans les yeux.

    - Je craint que je vous ai sous-estimez, Isis, fit-elle.

    - Je craint que c'est également mon cas, Dame Zoëy. Veuillez m’excuser.

    - Je suis désoler moi aussi. Vous méritez peux être le titre de Dame, vous aussi. Dame Isis.

    Il n'y avait aucun mépris dans sa voie. Je souris.

    - Rentrons.

    Elle hocha la tête, et me rendit mon sourire. Nous n'étions plus ennemies. Pas amies non plus, quand même. Alliées. Oui, alliées était un bon mot. Quand nous retournâmes à la cité, tous les yeux était fixé sur nous. Enfin, sur moi surtout. Quand je vis Aglaé, Keiko, Thomas et Diane, je les rejoignis en courant. Aglaé m’accueillit par une caresse sur la tête.

    - Tous va bien ? Personnes n'a été blesser ? demandais-je.

    - Mme Estelle est assez amochée. Mais sinon, pour nous, tous va bien, fit Aglaé.

    Je remarquai que Keiko et Diane me regardait comme une personne à trois tête.

    - Ben quoi ? fis-je, amusée. Vous n'avez jamais vus de Métamorphe ? Ha non, c'est vrai, je suis unique au monde.

    Aglaé gloussa.

    - Je les ai mit au courant après le message de l'oiseau. Mais ils ne m’ont presque pas crus.

    - Vous avez reçu mon message ? me réjouissais-je.

    Diane sourie. Elle tendit la main, et l'oiseau colorer vint se poser sur le bout de ses doigt.

    - Chanteur est venu me trouver en piaillant. Je ne mit pas longtemps a comprendre ce qu'il disait, m'expliqua la 4ème. Et je pu prévenir Sir Wiraqucha.

    - Chanteur ? fis-je, amusée. Tu lui a donné un nom ?

    Diane rougis violemment.

    - Chanteur est complètement accro à Diane, soupira Thomas. Je n’envie pas ses compagnons de dortoirs. Ils chantent tous le temps ensemble !

    - En fait, Diane adore chanter ! ricana Aglaé.

    Je souris, et remercia l'oiseau. Ce fut lui qui me remercia.

    - Je pense qu'il va te suivre jusqu’à Saminge, souris-je.

    Diane souri elle aussi, aux anges. Je sentie une main se poser sur mon dos. Sir Wiraqucha était là.

    - Bonjour, Sir, fit-je.

    Il me sourit.

    - Bonjour Isis. Merci. Merci infiniment.

    - De quoi ? Mettre fais capturer par les Draks ? D'avoir vécu avec eux pendant trois jour non-stop ?

    - Non. De nous avoir prévenus. Merci pour nous avoir sauver.

    - C'est Chanteur qu'il faut remercier, pas que moi.

    - Nous l'avons remercier aussi. Félicitation d'avoir survécu avec les Draks !

    Je me retournai, et grimaçai.

    - Ça va ? s'inquiéta Mme Carole, qui était là avec M. Christophe et Mme Laure.

    - Mes membres me font souffrir. Mais je ne pense pas que ce soit grave.

    - Par contre, l'état de ta fourrure... fit Keiko.

    Je baissa les yeux sur mes poils. Ils n'étaient presque plus noirs. Pourpre, plutôt. Et le sang avait sécher sur ma fourrure. J'avais l'impression d'être un horrible monstre.

    - Nous devons tous allez nous lavez. Histoire de fêter notre victoire dans une tenue convenable ! nous fis Sir Wiraqucha en nous entraînant tous vers le Temple du Soleil.

    ***

    - Un bal ! maugréais-je. Rien que ça !

    Arunima éclata de rire.

    - J'adore tes cheveux ! me dit-elle en les coiffant.

    Elle était dessus depuis une bonne dizaine de minute. Cette fois, elle m'avait fait enfiler une robe blanche aux reflets d'or. La robe n'avait pas de manche, mais le décolleter n'était pas trop osé. Le bas était plein de froufrous sur un coté, créant un effet de cascade, et les différents voiles étaient plus foncer une fois sur deux.

    - Non, sérieusement ! Nous venons de tuer des Draks ! Ce n'est pas humain de faire un bal juste après !

    - C'est pour changer les idées des plus petits, me souffla Arunima.

    Je grognai. Enfin, elle lâcha mes cheveux et me donna un miroir.

    - Alors ? me demanda elle avec une voie fébrile.

    Elle avait remonter mes longs cheveux en chignon haut, en laissant échapper quelques mèches de façon harmonieuse. Deux grandes encadraient mon visage, peu maquillé.

    - C'est magnifique, répondis-je. Merci.

    Elle me sourit, aux anges, puis alla elle même se cacher derrière un paravent. Elle revint peu de temps après, avec une longue jupe taillé façon indienne, et un haut ne touchant pas le bas, montrant le ventre de la Médicus. Elle se mit devant le miroir et mit de grande boucle d’oreille. Elle se mit aussi un anneau au nez. Prenant une pinceau, elle se fit un point rouge sur le front.

    - Alors ? me demanda-elle.

    - Magnifique toi aussi, fit-je, l'esprit ailleurs.

    Elle soupira.

    - Qui a-t-il encore, Isis ? demanda-elle.

    - Combien y avait-il de corps ? Chez les Draks ?

    - Vingt quatre.

    - Ils étaient trente. En tout. Six sont encore vivant.

    Elle soupira a nouveau.

    - Si je te dis ce qui t’intéresse, tu te détendra et tu viendras au bal ?

    - Oui, répondis-je sans hésiter.

    - Parfais. Deux ce sont échapper. Et nous avons quatre prisonniers. C'est bon, maintenant ?

    - Oui, acquiesçais-je aussitôt, sachant que j'avais eu plus que je ne l’espérais.

    - Parfais. Ne faisons pas attendre plus longtemps les autres !

    Elle passa devant moi, et nous remontâmes l'escalier de la pyramide. Une fois dehors, je ne pus que retenir un cri d'émerveillement. En contrebas, les maisons étaient éclairer par des centaines de luciole. Tous le monde était sur son trente et un. Arunima et moi descendîmes lentement vers le village. En bas des marches attendait une grand professeur au tendre regard doré. Il embrassa la main d'Arumina, et y laissa ses lèvres. Je lui souris, et partis en recherche de Thomas et Aglaé. Je les trouvai avec Keiko, Diane, Wanda, Owen, et deux autres garçons de la Deuxième Maison.

    - Salut, fis-je en m'approchant.

    Je serai la main aux deux inconnus.

    - Edward, se présenta le premier.

    - Isis, enchantée, répondis-je.

    - Et moi, c'est Amned, fit le second. Ravi de faire enfin ta connaissance.

    Je lui souris, et fit la bise Wanda.

    - La prochaine fois que tu comte passer un peu de temps avec les Draks, prévient-nous d'abord, hein ? me fit Owen.

    Je lui ébouriffai les cheveux.

    - Je retient le conseil, gamin, souris-je.

    - Le bal va commencer, nous signala Keiko, magnifique dans sa robe bleu et argent. Choisissez vos cavaliers !

    Thomas tendit le bras à Aglaé, et elle l'accepta avec joie. Amned prit Diane, et Simon Wanda. Je souris a Keiko. Elle m’adressa un haussement d'épaule fataliste.

    - Je préfère souvent observer que participer.

    - Sauf pour les combat.

    - Oui, sauf pour ça.

    Nous éclatâmes de rire.

    - J'aime pas danser, fit Owen. Je reste avec vous.

    Je lui souris.

    - Je craint malheureusement devoir vous enlever Isis, fit une nouvelle voix.

    Sir Wiraqucha venait d’apparaître. Il s’inclina devant moi, et me tendit son bras.

    - Est-ce que l'unique Métamorphe pourrait me consacrer cette danse ?

    Je lui prit son bras, et il m’entraîna au milieu des danseur. Il était en smoking noir.

    - Je vois qu'Arunima s'est amusée. Tu es sublime.

    - Merci, fis-je sans me départir de mon sérieux. Sir Wiraqucha...

    - Oui ?

    - Est-il vrai que vous avez quatre prisonnier Draks ?

    Il eu une moue agacée.

    - Je ne voulais pas que les élèves le savent.

    - Je suis la seule au courant. Et je sais aussi pour les deux fuyards. Et je ne compte le dire a personne.

    - Merci.

    Il se tut un moment.

    - Oui, nous avons quatre prisonniers. Et mes troupes recherchent les deux autres.

    J'hochai la tête en silence.

    - Pourrais-je les voir ? demandais-je d'une toute petite voix.

    Sir Wiraqucha se figea. Je baissai la tête.

    - Je suppose que te demander pourquoi est une marque de manque de respect ?

    - Non. J'aimerais voir de qui il s'agit. Savoir qui a survécu.

    Il hocha la tête.

    - Maintenant ?

    - Si c'est possible.

    Il soupira.

    - Vient, me fit-il en m’entraînant vers la pyramide.

    Je le suivit en silence. Nous commençâmes l’ascension des marches.

    "Isis ?" me fit la voix de Thomas dans ma tête.

    "Je revient dans cinq minutes."

    Après être redescendus, nous arrivâmes à un étage que je n'avais pas encore explorer. Deux gardes montaient la garde. Nous entrâmes sans qu'ils cherchent à nous retenir. Nous arrivâmes dans une prison. Des barreaux d'obsidiennes couverts de mousse démarquaient chaque cellule, et formaient un écran végétal. Je ne parvenais pas à voir les détenus. Wiraqucha m'emmena au fond de la prison. Et je les vis. Sylvénia, dons les plaies que je lui avait infliger suintaient encore. Yva, que j'avais abandonner en pleine jungle. Une autre femme, qui était descendue au village avec nous la veille. Et Durk. Il avait maintenant une grande balafre sur toute la partie droite du visage, qui frôlait mais ne crevait pas son œil. Il avait eu chaud. En me voyant, il redressa la tête, et sourit. Yva gronda, Sylvénia et la femme étaient trop blesser pour réagir.

    - Salut princesse, fit Durk.

    Je l'ignorai royalement.

    - Vous ne les avez pas soigner ? demandais-je en me tournant vers Wiraqucha.

    - Arunima à fait le minimum. Tous juste ce qu'il faut pour les maintenir en vie.

    Je secouai la tête.

    - Ce n'est pas humain de les laisser souffrir, Sir Wiraqucha.

    Durk éclata de rire.

    - Quand comprendras-tu qu'il n'est pas humain, Isis ? demanda-il.

    - Ils ont tuer des nôtres, riposta Wiraqucha sans prêter attention à Durk.

    - Nous en avons tuer vingt-quatre. Combien des nôtres sont mort ?

    - ... Dix huit.

    Je baissai la tête. Je ne le savais pas.

    - Ce sont peu être des Draks, murmurais-je. Mais ce sont avant tous des hommes, comme nous, crée par les cinq pierre. Si nous les laissons agoniser à petit feu, nous ne valons pas mieux qu'eux.

    Il me fixa d'un air indéchiffrable.

    - Bien. J’enverrais Arunima dès la fin du bal.

    - Merci, soufflais-je.

    - Wiraqucha, j'aimerais lui parler seul à seule. Pouvez-vous partir ? fis soudain Durk.

    Sir Wiraqucha jaugea le Drak du regard.

    - C'est bon, le rassurais-je. Il est enfermer, je ne craint rien.

    Il hocha lentement la tête.

    - Je t'attend dehors, fit-il.

    - Oui. Merci.

    Il partis. Le croisai mes bras sur ma poitrine en me tournant vers Durk.

    - Oui ? demandais-je au Drak.

    Il sourit en me détaillant.

    - Tu es magnifique.

    Je soupirai.

    - C'est tout ? Parce que mes amis m'attendent.

    - Non, attend ! fis-il en me voyant partir.

    Je me retournai. Nous nous examinâmes.

    - Ce que tu m'as dit... Après m'avoir frapper... Tu le pensais ?

    - C'est ce que m'a dit Obsidienne en me faisant une longue entaille au flan, lors de son dernier combat. Elle, elle le pensais.

    - Mais toi ?

    Je restais songeuse. Le pensais-je ?

    - Je t'ai attaquer avec une épée. A ton avis, étais-je sérieuse ?

    Il baissa les yeux.

    - Je ne sais pas. Oui.

    - Parfais. Alors tu comprend que, même ma rage du combat disparue, je souhaite toujours votre mort.

    Un grand rire cristallin échappa des lèvres de Sylvénia.

    - Allons donc ! fit-elle. Tu vient de demander à ton toutou de Wiraqucha de nous soigner !

    - Wiraqucha n'est pas mon toutou ! Et si tu n'es pas contente, je demanderais à Arunima de te laisser pourrir avec tes plaies !

    Je fis volte face pour partir.

    - Quand as-tu appris à manier aussi bien une épée ? fit Durk juste avant que je parte.

    Je jetai un coup d’œil au dessus de mon épaule.

    - Je n'avais jamais tenu une épée jusqu'à maintenant.


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