• Chapitre 12

  • Personne ne faisait attention aux petits animaux. Surtout la nuit, quand ils étaient invisibles. Alors personne ne fit attention à la petite souris noire qui cavalait dans les couloirs de la pyramide pour cherche la salle des archives, où tous autres choses dans ce genre là. Personne ne savait ce que je faisais. Aglaé me croyait avec Sir Wiraqucha, et Sir Wiraqucha me croyait avec Aglaé. En gros, j'étais tranquille pour quelques heures. J'avais posé la question d'Aglaé à Wiraqucha : pourquoi moi ? Il m'a répondu qu'il ne savait pas trop, mais qu'il avait bien une petite idée : mon esprit n'était pas de la même génération que mon corps. Ça avait peu être troublé la Cinquième pierre.

    J'avais déjà fouiller les trois premiers étages. Il en restaient dix sept, toujours de plus en plus vaste. Je pénétrai dans le quatrième. C'étaient des chambres. Je ne trouverais rien là dedans. Je ressortie, et partie sur le niveau cinq. Enfin, mes attentes furent récompensée quand j'arrivai au niveau dix neuf. Au bureau de Zoëy. Je me glissai doucement dans la salle, décorer de millier d'émeraudes. Je vit au fond une grande armoire, avec des caisses. Comme il n'y avait personne, je me transformai en chat. J'ouvris habilement un des tiroirs.

    -Bingo, murmurais-je.

    Dedans, plusieurs intercalaire classé par lettre alphabétique. Mais c’était classé par nom de famille. Et j’ignorais celui de Thomas. Je du les faire un par un, montant toujours plus haut. Je remarquai qu'il y avait plusieurs frères et sœur, tante et neveux, parfois même grand oncle et petite nièce. Je fis les "A". Rien. "B". Rien. "C". Rien. Au "I", je trouvai Ito Keiko. Je regardai rapidement son dossier. Elle n'étais pas Japonaise, contrairement à ce que disait son apparence. Mais Chinoise. Sa mère avait accouché dans une ferme isolée du monde. La personne qui étais aller la cherche n’eus pas besoin de se servir de ses talents de Perdet, puisque Keiko à vite été abandonné par ses parents sur une rivière. Je ressentis une grande pitié. Puis, je me dit que le destin avait un certain sens de l'humour. C'était une rivière qui aurait dû tué la tué, et elle se retrouvait avec des dons d'Aqua. Je fis tous les dossiers un à un jusqu’au "N". Fébrile, je passai en revus tous les "N", jusqu’au "No" Je le trouvai enfin.

    Nobiles Martin.

    - Qu'est-ce que... ? murmurais-je.

    Oui, c’était bien un Martin. Mais il datais de la première guerre mondial. La Deuxième Maison nous avais déjà prit un de nos ancêtre ! Je lis sa fiche. Rien de plus banale. La Brouilleuse qui devait aller le chercher à brouiller ses parents et sa grande sœur. Il n'y avait pas de pouvoir préciser. Et juste après, il étais là.

    Nobiles Thomas.

    Je retint ma respiration. Et je commençai à lire.

    Date de naissance : 4 juin 2003 - 00 h 00

    Comme moi... J'étais aussi née le 4 juin 2003, mais à minuit trois.

    Lieu de naissance : Chamonix - France - Cinquième Pierre

    Pouvoir : Télépathie

    La phrase suivante allais m'achever.

    Membre de sa famille à la naissance :

    Père : Nobiles Jack

    Mère : Nobiles Hélène, née Weber

    Frère : Nobiles Casey

    Alors... c’était vrais. Thomas était mon frère. Mon frère jumeau. J'étais née juste après lui, d'après le texte. Plus bas, je remarquai de longs textes. Il y en avait un en Espagnol, et un autre en français. Je choisi le dernier. Je m'attaquai à la lecture.

    Rapport de Satis Zoëy :

    "Il pleuvait, cette nuit d'été du 3 juin 2003. J'étais arrivée à Chamonix la veille, où il faisait encore beau. L’hôpital étais facile à trouver. En utilisant mon pouvoir, j'y entrai. Je m'y suis déplacer sans mal, et trouver la chambre étais un jeu d'enfant. Cette fois, j'utilisai un obscurateur, crée par nos meilleurs Technopathes pour ne pas qu'on me voit. J'y entrai en même temps qu'une infirmière. A ce moment là, je vis le couple. Ils devaient avoir chacun 28 et 29 ans. La femme, d'une beauté exceptionnelle leva les yeux vers moi, et me fixai d'un regard résigné. L'homme lui serra un peu plus sa main, et me contempla, lui aussi. Comme si mon obscurateur n'avait aucun effet. Pourtant, les infirmière évoluai autour de moi sans faire attention à moi. Puis, l'accouchement commença. C'était dur pour la femme. Les infirmières et son mari l'encourageait sans cesse. Enfin, le premier enfant arriva. Je me précipita pour le prendre, mais l'homme s'interposa. "Laissez-nous encore un peu de temps. Nous vous le donnerons après." m’a-t-il dit. J'ai hésiter, puis j'ai acquiescer. Un deuxième enfant arriva. Une fille, cette fois. Une infirmière les enveloppa dans un drap vierge. La femme les prit dans ses bras, et les embrassa un par un. Ensuite, l'homme me fit signe d'approcher. J'activai mes pouvoirs pour abasourdir les infirmières, puis défit mon obscurateur. "Voici Thomas et Elyse." fit la mère. "Je crois que votre traditions dans ces positions là sont de prendre l'aîné... Le voici. Prenez en soin..." Elle me tendit le premier bébé. Je sus en touchant la main de la femme qu'elle avait le même pouvoir que moi. C'était une Perdet. Le mari embrassa lui aussi son fils. Lui aussi avait un pouvoir, il étais Invocateur. "Pouvons-nous vous demandez un service ?" demanda-il. J’acquiesçai, ce qui n'étais dans mes habitudes. "Ne nous brouillez pas. Nous vous le jurons, nous ne chercherons pas à le retrouver, où le récupérez. Nous préférons savoir qu'il est avec vous à la Deuxième Maison, plutôt que de penser qu'il est mort né." Je fus toucher par cette demande. "Es contra las reglas..." murmurais-je. "Entonces, puedes decirle un día que todos lo amamos ?" fit-il en un Espagnol parfait. J'hochai la tête et prit le petit. Je remit l'obscurateur, et brouillai les infirmière... et les parents pour leur faire croire que le bébé était mort né, et que quelqu'un s'en ai occupé. Puis, je sortis et fermai la porte derrière moi."

    C'est donc ainsi que mon deuxième grand frère avait été enlevé par Zoëy. Thomas Nobiles. Thomas Nobiles. Je me répétais ces mots sans relâche. Ils sonnaient bien. Soudain, j'entendis un bruis de pas. Je remis rapidement le dossier à sa place, puis essayai de refermer tous les tiroirs que j'avais ouvert. Je me retransformai en souris juste quand Zoëy arriva dans son bureau. Elle s'arrêta sur le pas de la porte pour inspecter son bureau, comme si elle sentais ma présence. Enfin, elle se dirigea vers sa bibliothèque. J'en profitai pour sortir rapidement. Sous forme de souris, je courais dans l'escalier qui remontait vers l’extérieur. J'avais un troisième frère. Un Télépathe. Le jumeau d'Elyse. Le notre, maintenant, à Nout et moi. Comme je courais, et que je prêtais pas attention à ce qu'il y avait autour de moi, je n'entendis pas les pas dans l'escalier. Et comme les larmes d’incompréhensions me bouchaient la vue, je ne vis pas non plus le pied venir à ma rencontre Je remarquai que je n'étais pas seule que lorsqu'il me percuta avec violence. Je choc me coupa le souffle, et je fus envoyer quelque mètre en contrebas... mais je redescendis presque tous l'escalier. Je ne pus empêcher un couinement de proie de sortir de ma bouche. Puis, le noir m'envahit.

    - Qu'est-ce qu'il se passe ? fit une voix que je reconnu à peine.

    - J'ai percuter une souris, répondis un autre.

    - Où est-elle ?

    Un petit silence s'installa.

    - Là ! fit la seconde voix, puis on me prit dans des mains. Elle est mal en point, nous allions vite tous les deux. Plusieurs de ses os doivent être cassé. Elle ne va pas tarder à mourir.

    - De qu'elle couleurs sont les yeux ? demanda la première voix, devenue soudain très faible.

    - Elle les as fermer. Mais sont pelage est noirs avec quelque poils blanc.

    - C'est Isis ! s'écria la première voix.

    - Quoi ? Le chat ? Mais...

    On me changea de main. J'entendis un gémissement désespérer. Puis, je sentis que la personne qui me tenait montait les escalier.

    - Où allez-vous, Sir ? fit la deuxième voix.

    - Il faut la sauver !

    Nous montâmes plusieurs marches. J'étais de plus en plus faible, j'avais mal de partout. Oui, je sentais que j'allais mourir. On dit que, lorsqu’on meurent, on voit sa vie défilée devant ses yeux. Mais moi, je ne voyais qu'une seule image. Un beau chat roux qui me sautais dessus dans une ferme intention de me faire partir... Mais qui était-il ? Je sentis qu'on me posa sur un table.

    Arunima, s'il te plaît, peux-tu la sauver ?

    - Sir Wiraqucha, j’espère que vous plaisanter ? Ce n'est qu'une souris... fit une voix de femme. Et elle va bientôt mourir...

    - Dame Arunima, par toutes les pouvoirs du monde, sauver-là. C'est la première métamorphe au monde, et ma protégée. Je ne veux pas...

    Les voix se turent. Je n'entendais plus qu'un bourdonnement sourd. Toute la douleur avait disparue. Je ne sentais plus rien. C'était si agréable... C'était donc ça, la mort ? Alors, si les gens savaient à quel point elle était douce, on cesserait de la craindre... Je me sentis partir, tous doucement. Soudain, une voix entra dans ma tête.

    "Isis ? C'est moi, Thomas ! Il faut que tu te transforme !"

    "Thomas ?" pensais-je, l'esprit ailleurs."Thomas qui ? Je ne connais pas de Thomas... Je t'en prit, va-t-en. Tu me gène."

    "Isis, je suis Thomas du Machu Picchu ! Il faut que tu te transforme en humaine ou en chat ! Sinon, tu va mourir !"

    "Mais la mort est si douce !" riais-je."Elle me tend les bras... Si tu savais comme elle est douce, tu viendrais, toi aussi..."

    La voix se tus. Je me cru enfin tranquille.

    "Et Orion ? Tu partirais comme ça, sans dire au revoir à Orion ?"

    Orion. Ce nom sonna comme une douce mélodie dans mon esprit. Orion. Une image survint, celle du beau chat roux. Il s’appelait Orion ? C'était un joli nom...

    "Il t'attend, Isis. Il t'attend, là bas, de l'autre coté de l'océan, dans votre village, à la Cinquième Pierre, il t'attend. Vas-tu partir, comme ça, en brisant son cœur ?"

    "Il m'attend ?" fis-je, surprise. "Il me connaît ?"

    "Isis, il t'aime depuis le jour où il t'a rencontrer. Il n'attend que ton retour... Transforme-toi... Si tu ne le fais pas pour moi, fais-le pour lui... Isis..."

    Je sentis alors une douce chaleur irradier de ma poitrine.

    "Merci..." fit Thomas.

    Je ne répondis pas. Car le noir venait de m'envahir.

    ***

    - Isis ? fit une voix douce. Isis, tu m'entend ?

    Oui, le l'entendais. J'ouvris les yeux et m'étirai. Je passa mes mains sur mon visages pour me masser sous les yeux. Mains ? Visage ? Je me redressai sur la table où j'étais coucher. La couverture qui étais sur moi tomba, dévoilant ma poitrine, nue. Je la remontai précipitamment. J'étais humaine. J'étais humaine. J'étais HUMAINE.

    Je me tournai vers la femme qui étais à mes coté. Elle avait de longs cheveux brun-noir, et portai une robe orange qui tirai sur le blanc quand on remontai le long de son corps. Elle étais drapée avec une longue pièce d'étoffe bleu clair. Un sari. Elle étais très jeune, et devait avoir environs vingt ans.

    - Qui... que...quoi... ? commençais-je.

    - Chut, Isis, tous va bien, fit-elle. Tu es en sécurité, et sauvée.

    - Pourquoi... où... comment ?

    - Chuut... souffla la femme. Tu es un peu chamboulée. Calme toi. Tu n'a rien à craindre. Je suis Dame Arunima, la guérisseuse de la cité. 

    Je repris peu à peu mes esprits. J'avais la bouche sèche.

    - Que... que c'est-il passé ? murmurais-je d'une voix rauque.

    - Tu as eu un accident en percutant avec violence le pied de Sir Bastian sous ta forme de souris. Mais je t'ai sauver.

    Je me rappelai. Mon expédition secrète pour fouiller le dossier de Thomas. Ma découverte. Ma fuite. Et enfin, le choc. Ensuite, je savais que j'avais été transporté, puis Thomas était venu m'arracher de la mort au nom d'Orion. Je gémit.

    - Tous le monde sait mon nouveau pouvoir ?

    J'avais eu envie de le garder plus ou moins secret, pour ne pas perturber tous les autres.

    - Non, juste Thomas, Sir Bastian, Wiraqucha et moi. Tu veux que je te raconte ce qui c'est passé ?

    J'hochai la tête.

    - Sir Wiraqucha et Sir Bastian sont arrivé en précipitation, au milieu de la nuit, pour me demander de sauver une souris. Tu dois donc te douter que j'ai été très surprise et puis Sir Wiraqucha m'a dit que tu étais une métamorphe, et que tu étais la souris. Comme je ne pouvais pas t'aider, il a envoyer quérir Thomas, notre Télépathe.

    "Mon frère." pensais-je.

    - Thomas est arriver, et il a réussi à te faire changer en humaine. Et j'ai pu t'opérer, et te soigner. On peut dire que tu as frôler la mort.

    Je m'affalai sur la table. Puis, je me mit à rire.

    - Quoi ? s'étonna Dame Arunima.

    - Je... j'ai survécu à un voyage improviser pour rejoindre la Troisième Maison, j'ai été pourchasser par un Drak, j'ai affronter Obsidienne, et je m'en suis sortie presque sans blessure grave, et voilà que, pour la première fois que je ne prend pas de risque grave... je frôle la mort !

    Dame Arunima sourit elle aussi. Puis, elle m'examina rapidement.

    - Peu être as-tu envie de t'habiller ?

    - Je ne comte pas rester humaine longtemps.

    - Oui, mais laisse-moi te faire un toilette... Pour que tu te vois dans le miroirs et que tu voix à quoi tu ressemble en vrai...

    Je souris. Oui, elle n'avait pas plus de vingt ans.

    - Oui, si vous voulez.

    - Merci ! Tu sais, tu peux me tutoyer, hein.

    Elle partie fouiller dans un malle, pendant que je me levais et que j'enroulais la couverture autour de moi. Elle me montra deux sari, un rose et un bleu-vert. Elle m'étudia encore un instant, avant de choisir le bleu-vert et de ranger le rose. Elle revint vers moi. Et me demanda de fermer les yeux. Je lui obéi. Elle défit ma couverture pour m'habiller.

    - Que t'es-tu fais aux coté ? demanda-elle. Quand je t'ai opérer, j'avais déjà remarquer ça, mais je n'ai pas pu me l'expliquer.

    Je fronça les sourcil, puis porta mes mains à mes cotes. En effet, il y avait une cicatrice sur chacune.

    - Oh, ça... La cicatrice de droite a été faite par un Drak qui a été tuer quelque minute plus tard par Orion et moi... Et celle de gauche a été fait par Obsidienne, qui, à l'instar de l'autre, est morte peu après. Mais elle, c'est moi seule qui l'ai tuée.

    Dame Arunima continua de m'habiller avec son sari. Je sentis qu'elle essaya de me brosser les cheveux et de les attacher, puis qu'elle abandonna. Elle me glissa quelque choses pour les retenir. Elle me mit finalement un collier, puis me fit marcher quelque pas.

    - Ouvre les yeux... me murmura-elle.

    Je les ouvris. Et ce que je vis me coupa le souffle. J'étais en face d'une très belle fille, d'environs treize-quatorze ans. Elle était vêtue d'un sari indien bleu vert, magnifiquement drapé autour de son corps. Il y avait des diamant sur le sari, ce qui donnait l'impression, lorsque le soleil l'éclairais, d'être sous l'eau. La fille portait une rivière de diamant qui tombait sur son coup et s’arrêtait quelque centimètre avant de toucher le tissu.

    Ses yeux étaient d'un vert surréaliste, qui ne gâchait pas pour autant sa beauté. Elle avaient des trais fins, un nez un peu pointu, et un visage parfaitement proportionner. Elle portait un diadème qui retenaient quelques-une de ses mèche, et ses cheveux étaient d'un noir profond, parsemer de rares mèches blanches. Elle étais sublime.

    Elle était le genre de fille qui, lorsque j'étais Elyse, j'observai avec soin pour voir comment elles se déplaçaient, comment elles tenaient leurs tête, et enfin, comment elles faisaient mine de ne pas voir les garçons qui leur tournaient autour. Oh non, je n'étais pas jalouse d'elles. J'étais juste intriguée par ce que je n'étais pas. Car en effet, je ne me sentait pas belle en tant qu'Elyse. Peu être était-ce faux, peu être était-ce vrai, tout ce que je sais, c'est qu'une fois Nout ayant pris mon corps, je la trouvait plus belle. Peu être que la beauté ne dépens pas du corps, mais de la tenue... En effet, quand Nout marchait, bougeait, tous ses gestes étaient empreints de sérénité, de douceur... Elle était très majestueuse. Et je ne me souvenais pas m'être meut ainsi.

    Je tendis la main pour toucher la fille qui était devant moi, mais je ne rencontrai que la dure matière solide du miroir. 

    - C'est... c'est moi... murmurais-je.

    - Oui, fit Dame Arunima. Et si tu es aussi belle en version humaine qu'en toutes les autres version, prépare-toi à avoir beaucoup de prétendant !

    Je secouai la tête.

    - Oh, allons... fit la guérisseuse, tu es aussi très jolie en chat !

    Je me tourna vers elle.

    - Comment le savez-vous ?

    - Tu ne m'a peu être jamais vu, mais moi, je t'ai très souvent vu, fit-elle en s'approchant du miroir pour examiner ses traits.

    - Comment ça ?

    Elle se mordit la lèvre.

    - Tous le monde rêve de voir la fameuse Tueuse de Draks. Alors, croit moi quand je t'affirme que tous le monde de la cité te regarde à chaque fois qu'ils le peuvent.

    - Vous n'avez pas peurs des Télépathes ? Après tous, les premier n'ont pas été très... favorables à l'humanité.

    Dame Arunima se figea.

    -Isis... fit-elle lentement, tu dois savoir que, en effet, presque tous ceux qui t'ont observer voulaient voir ce qui apporterait encore plus de malheur. Il y a déjà des théorie qui fusent. Tu as réveiller Onyx et Obsidienne. Tu as fait en sorte que les Draks sortent de leurs misérables trous. Tu les as attiré. Tu les as sortis de l'ombre.

    - Comme si il se taisaient et regardaient passer les événements avant mon arriver ! grondais-je.

    - Je ne pense pas ça de toi, Isis, fit l'indienne. Laisse-moi finir. En t’observant, plusieurs t’ont vu tel que tu est. Belle. Intelligente. Cultivée. Sage. Douce. Libre. Pure. Forte. Fière. Stratégique. Indépendante. Et enfin, déterminé. Alors, ils ont compris que si tous les autres Télépathes de ta génération sont ainsi, nous n'avons rien à craindre de cette génération.

    Je l'examina, interdite. Elle semblait sincère.

    - Je ne suis qu'un tous petit peu belle, commençais-je lentement. Un peu intelligente et cultivée. Très peu sage. Douce, parfois. Libre, sûrement. Pure, loin de là. Forte, ça dépend. Fière... un peu trop. Stratégique, quand il le faut. Indépendante, on peut l'être plus que moi. Et déterminer... je ne suis que ça. Mais tous les autres Télépathes sont... tous ce que vous avez dit. Alors, oui, j'espère que vous ne pensez pas que nous sommes dangereux pour l'humanité.


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